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L’ÉQUIPE ARTISTIQUE

Maryem Dogui

LA CHORÉGRAPHE

TRACES-SAM22SEPT2018©LAURENTGAMBARELLI20

Maryem débute enfant avec les danses africaines traditionnelles (principalement de l'Ouest), qu'elle approfondira jusqu'aujourd'hui auprès d'Assiata Abdou (Cie Swahili-Dounia), Nadine Mondziaou (Cie Difékako) et Clément Assemian Assoum. Elle se formera également aux danses de l'Orient et du Maghreb avec Myriam Benharroch, puis en travaillant avec une compagnie amateur ("l'ARC").

Ces danses sont la base de son travail, elles lui permettent de toucher d'une certaine manière à ses racines.


En 2013, après un an de formation à l'Instituto Superior de Arte (La Havane) où elle y apprend les danses folkloriques cubaines et la danse moderne, elle intègre le Centre Chorégraphique James Carlès (Toulouse) au sein duquel elle se forme en jazz, danse contemporaine, moderne et classique.

 

Aujourd'hui elle enseigne les danses africaines traditionnelles de l'Ouest et la danse afro-contemporaine.

Elle a dansé dans la compagnie Giovanni Martinat (danse contemporaine) et dans la compagnie Massala de Fouad Boussouf (hip hop contemporain).

Actuellement elle danse avec la compagnie NaWalé (danses métissées d’Afrique du Nord), et au sein de la Cie Sandrine Plaa (danses afro-latines) avec laquelle elle se produit notamment avec différents orchestres (les Roots du Rhum, United Gnawa of Batucada, Bem Gelada).
Par ailleurs, elle continue de se former en danse contemporaine à travers des stages, des workshops, des cours, en France, en Espagne et en Angleterre.


Nourrie par cette diversité, elle développe une danse métissée, terrienne, musicale et rythmée, qu'elle fait évoluer par une forte pratique de l'improvisation. De plus, elle aspire à faire le lien entre les danses traditionnelles et populaires, et les danses académiques, que ce soit par la réflexion, la technique ou l’énergie. Elle cherche aussi à associer son engagement politique (anti-capitaliste et en recherche d'humanité) à sa réflexion chorégraphique.
C’est  avec le désir de développer une matière et une réflexion, qu’elle monte la Colombe enragée en 2016.
En création elle se base sur l'improvisation, le mouvement instinctif, mais aussi sur des débats et discussions avec les danseuses. Celles-ci ont une grande part de liberté, elles participent notamment à la composition de certaines parties des pièces.

 

Elda Haksever


Elda commence la danse par le hip hop dans une petite école du centre-ville de Strasbourg à
l’âge de 15 ans.

Quelques années plus tard, grâce au programme « Trajectoire » elle s’initie à la danse contemporaine. Elle commence alors à s’intéresser à la danse dans sa globalité. Elle rencontre ensuite des danseurs hip-hop de sa région dont Moogly et Majid Yayahoui, qui lui font découvrir le hip hop dans au sens large (hip-hop,
pop, house…) et l’improvisation. Avec d'autres danseuses, elle forme le crew Mugiwara, avec lequel elle
participera à de nombreux battles et élaborera plusieurs shows.
Elle entreprend par la suite une licence d’économie et gestion, avec une dernière année de
licence à Montréal. Là-bas, elle approfondit également ses connaissances sur la culture hip hop
et la danse contemporaine. Elle se lance alors réellement dans la pratique du « freestyle ».
De retour en France, elle intègre la formation danseur interprète au Centre Chorégraphique
James Carlès en fin d’année 2015. Dès sa deuxième année, elle choisit de s’organiser sa
propre formation. Elle suit alors les cours du centre chorégraphique en parcours
aménagé, elle participe à certains modules de la formation professionnelle dela Juste Debout School Toulouse et des cours d'acrobatie et d'équilibre au Lido.

Aujourd’hui elle développe un travail de création en duo,vidéo, cirque, théâtre et danse au sein de sa compagnie Embrouillamini qu'elle co-dirige avec Marthe Mosser.

@Manu Picado

Léa Jamilloux

Léa débute la danse à l’âge de 13 ans avec le hip-hop et le modern' jazz.

C’est pendant ses études d’art à l’Université de Rennes II qu’elle a un premier contact avec la danse
contemporaine et l’improvisation.

Pendant ses multiples voyages, elle rencontre différentes cultures et histoires ainsi que différents paysages qui nourrissent sa créativité.
Avant de s’installer à Toulouse, elle vit sept ans à Berlin (Allemagne) où elle obtient en 2015 son certificat de danseuse contemporaine interprète et de danseuse pédagogue au sein de l’école Dock11 & Eden Studio Berlin.
Depuis sept ans, elle participe à de nombreuses performances et à de nombreux spectacles entre Berlin, La Réunion et la France métropolitaine.

Elle organise également des stages pour les débutants comme pour les professionnels.
Elle danse actuellement au sein de la compagnie toulousaine Sarah Boy et rejoint la Colombe enragée en septembre 2017.
Elle enseigne par ailleurs l’Urban contemporain, fusion de la danse hip-hop et de la danse contemporaine à Toulouse et dans sa région.

@Manu Picado

Laura Marrocco

A l'adolescence, Laura fait partie de la compagnie amateur du Centre Chorégraphique James Carlès, sous la direction d'Angeline Gardiennet. Elle touchera durant ces quelques années, au jazz, à la danse moderne, à la danse classique et fera quelques scènes.
Après deux ans d'étude en Sociologie à l'université, elle entame un cursus professionnel de danseuse-interprète au sein de l'école Off Jazz à Nice.
Un an plus tard, elle entrera au Centre Chorégraphique James Carlès à Toulouse, où elle terminera sa formation. Elle y obtiendra par ailleurs son EAT Jazz et l'UV d'Histoire de la danse.
Durant son parcours, Laura développe un grand intérêt et une certaine curiosité pour la danse contemporaine et la création.
Des ateliers de composition personnelle naîtra son premier solo, "Initiée". Solo qu'elle travaille encore actuellement pour un plus long format. Elle le dansera dans divers festivals en France et en Afrique.
Parallèlement à sa dernière année à l'école en 2016-2017, elle intègre La Colombe enragée, dés sa création.
En janvier 2018, Laura monte sa compagnie Origine dans le but de partager et de se consacrer davantage à son projet de création. Elle continue en parallèle à se former auprès de différents professeurs et danseurs de contemporain,
breakdance et tissu aérien.

Marthe Mosser


Marthe commence enfant avec la danse sur glace, puis le modern jazz à Strasbourg. A l’âge de 10
ans, elle découvre le hip hop, qui ne l’a quittera plus. Quelques années plus tard, elle rencontre le danseur hip-hop Moogly qui lui fait découvrir le freestyle et lui montre comment s’entraîner seule. Comme Elda, elle fait partie du crew Mugiwara et danse en 2014 avec la Compagnie MJD.
Elle est diplômée d'une licence en art du spectacle option danse. Lors de sa dernière année de
licence, qu’elle effectue à l’Universidad Europea de Madrid, elle s’ouvre alors à la danse
contemporaine et à la performance. En revenant en France, elle décide d'intégrer la formation professionnelle au Centre Chorégraphique James Carlès.
Après un an de formation complète elle s’organise sa propre formation, notamment en
continuant au Centre en parcours aménagé. Elle prend également des cours d'acrobatie et
d'équilibre au Lido dans l'optique d'acquérir une conscience globale de son corps pour
développer à terme une danse qui lui est propre. Elle continue de se former en house, par ses
entraînements personnels, stages, masters class et cours réguliers.
Elle participe de temps en temps à des shows dans la région toulousaine. Elle a dansé
dans la compagnie All elements de Heddy Maaleem et Eewok. Elle a donné à plusieurs reprises
des cours et stages à des enfants et également à des adultes handicapés.
Depuis fin 2017 elle forme le duo « Embrouillamini » avec Elda Haksever. Elle a intégré la
Colombe enragée en février 2017. Par ailleurs elle développe une activité autour du dessin. Elle expose régulièrement sur Strasbourg et a illustré un livre de conte. Pour Hétriotopie elle est responsable de la scénographie.

@Nadjib Bedani

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